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15 avril : Potosi

  • Photo du rédacteur: Morgan et Marie
    Morgan et Marie
  • 17 avr. 2019
  • 2 min de lecture

Nous nous rendons au terminal terrestre de Sucre pour prendre un bus direction Potosi. On en trouve un qui part à 11h, soit dans 10 minutes. Parfait.

Cependant, on comprend vite que le chauffeur attend que le bus soit plein pour partir. Vers 11h40, nous partons donc pour 4h de route à travers les montagnes.


Arrivés à Potosi, nous ne savons pas encore si nous y passons la nuit ou juste l’après-midi. Nous décidons vite fait bien fait de nous rendre dans une famille qui propose une chambre. Après 30 minutes de marche en plein soleil et à 4000m d’altitude, nous arrivons en nage chez un couple âgé vivant avec leur fils, très accueillants.


Il est déjà 16h et nous décidons d’aller dans le centre, en collectivo.

Nous arrivons sur une place entourée d’églises et de petites ruelles dont la vue sur le Cerro Rico, montagne minière et sacrée, est très jolie.

Pour la petite parenthèse, il est possible d’aller visiter ces mines d’argent, exploitées depuis le 16ème siècle à l’arrivée des Espagnols.

Cependant, nous avons lu beaucoup d’articles à ce sujet qui dépeignent une visite peu éthique. En effet, les agences vous recommandent d’acheter entre autres de la dynamite et de l’alcool pur pour les mineurs (pour les « soulager » de leurs conditions difficiles )...

A l’intérieur, des essais à la dynamite sont réalisés par les touristes. Déjà que la mine est un véritable gruyère depuis tous ces siècles, nous n’avions vraiment pas envie de risquer notre vie pour un peu de voyeurisme !


Nous allons voir le coucher de soleil depuis la Torre de la Compania de Jesus, d’où la vue du centre est idéale.

Pour y accéder, nous avons dû emprunter un minuscule escalier (« Faut pas être trop gros ! » - « Personne n’est gros »).

Après un bon menu composé de soupe de quinoa et de lasagnes (plus un petit verre de vin blanc excellent pour moi et une bière locale pour Morgan), nous rentrons en collectivo.

Il fait très bon chez nos hôtes et nous pouvons enfin dormir sans bouillotte !


Le lendemain, direction la gare routière pour prendre (encore et encore) un bus pour Tupiza, encore plus dans le Sud.

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