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Du 22 au 24 mai : Baños

  • Photo du rédacteur: Morgan et Marie
    Morgan et Marie
  • 28 mai 2019
  • 3 min de lecture

Nous arrivons dans la soirée après 2 bus différents. Sur la route, nous avons pu voir un beau volcan surplombant la vallée.

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Nous cherchons un logement dans le centre mais ceci ne s’avéra pas chose facile car le 24 mai est un jour férié et que cette ville est très fréquentée, notamment par les touristes locaux.

Nous finissons par trouver dans une auberge après moult négociations.


Baños de Agua Santa, est situé au bord de la rivière Pastaza, au pied du volcan Tungurahua, et est coincé entre les montagnes.

Cette petite ville touristique est connue pour ses nombreuses cascades, ses eaux thermales et ses activités de plein air.

Nous débutons la visite de la vallée par l’énorme cascade « Pailon del Diablo ».

Après une trentaine de minutes de marche dans la forêt, nous voici au pied d’une immense chute d’eau. Pour s’en approcher, nous montons des marches et passons dans d’étroits passages à flanc de roche, accroupis.

Après s’être bien fait arroser, nous redescendons jusqu’à un autre point de vue.

Nous remontons le chemin et reprenons le bus de ville pour s’approcher cette fois-ci de la cascade « El Manto de la Virgen ».

Pour cela, nous prenons une nacelle suspendue dans le vide.

Nous traversons la vallée puis faisons une bonne marche pour descendre au pied de la cascade, où nous pique-niquons dans des hamacs.

Sur le sentier, nous croisons de nombreux papillons de toutes les couleurs.

Après avoir tout descendu... il faut tout remonter ! Mais à 4, l’effort est toujours plus facile ! Nous reprenons la nacelle, puis le bus, et nous arrêtons au spot « Canopy Tarabita Agoyan » où nous décidons de faire de la tyrolienne en mode Superman.

Une nouvelle fois, nous traversons la vallée suspendus à un câble, en admirant la vue sur les cascades et montagnes.

Nous finissons par un petit accrobranche (compris dans le prix !) puis rentrons dans le centre de Baños.

Morgan et Val ont entendu qu’on pouvait également faire du saut à l’élastique ici. Ni une ni deux, nous trouvons le fameux pont et Val se lance le premier. 150m de vide dont 25m de saut au-dessus de la rivière en folie. Il revient avec un grand sourire et c’est au tour de Morgan, que je vois bien stressé. Il saute, crie, tourne sur lui-même et finit par se balancer sous le pont. Waouh, impressionnant !

Tellement fou qu’ils veulent qu’on tente avec Johanni mais nous préférons passer notre tour.

Ils nous en parleront toute la soirée, convaincus d’en refaire le lendemain.


Le soir, nous allons déguster un énorme burger pour nous remettre de nos émotions puis allons nous coucher, en rêvant de vide et vertiges.


Vendredi 24 mai, nous nous levons avec un beau soleil et décidons de marcher jusqu’un centre d’eaux thermales dans les montagnes. Ça grimpe vite et nous avons bien chaud. Arrivés en haut, nous découvrons quelques bassins à l’eau trouble et des dizaines de locaux et leurs enfants agglutinés dedans...

Maintenant qu’on est là, autant tenter ! Nous nous changeons dans des cabines qui puent le poisson puis testons les différents bassins : eau bien chaude, tiède, froide puis les garçons se baignent dans la rivière adjacente, dans une eau gelée.

L’expérience fut assez courte et décevante mais nous finissons la matinée par prendre une banane plantain grillée avec du fromage râpé qui nous redonne force et sourire.


Nous dévalons ensuite la pente pour prendre un bus qui part dans quelques minutes, direction « La casa del Arbol ».

Dans chaque ville touristique en équateur, se trouve cette petite cabane en bois dans un arbre, permettant d’apprécier la vue sur les environs. S’y trouve aussi des activités comme des grandes balançoires, tyroliennes, et autres activités.

La vue sur le volcan Tungurahua est d’abord couverte, puis ce dernier nous dévoile timidement son sommet au moment de repartir.


Nous rejoignons le centre et le pont pour que Morgan et Val puisse sauter à nouveau (à 15 dollars, c’est donné !). Et c’est reparti : préparation, équipement, positionnement et (petit) stress ! Le gérant les ayant reconnus a donné un peu plus de lest à la corde (30 mètres).

Cette fois-ci, une trentaine de locaux sont avec nous pour regarder le spectacle.

Morgan commence et tout le monde crie pour lui. Puis c’est le tour de Valentin. Ils reviennent toujours avec le sourire, 2 fois plus pénibles en essayant de nous convaincre de le faire. Mais nous refusons toujours et rentrons.


Nous faisons nos sacs, mangeons, puis partons en car de nuit direction Cuenca, plus au Sud du pays.


À bientôt pour de nouvelles péripéties !

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